On oppose souvent le chien, animal social par excellence, au chat qui serait individualiste et indifférent. Cela n’est pas exact.
Le chat est capable d’aimer les humains
Si le chat ne vit pas en meute et n’est donc pas instinctivement soumis à un maître/chef de meute, il reste néanmoins un animal très sensible aux êtres qui l’entourent.
Notre chat domestique est ainsi capable d’abandonner les hommes qui le nourrissent (mal) comme d’aimer sincèrement les humains qui prennent soin de lui.
On a observé dans la nature que des félins pourtant réputés solitaires (tigres, guépards, léopards) s’associent parfois à un congénère tant au moment de la chasse que de la sieste.
Il est ainsi très probable que notre chat puisse considérer l’homme non comme son maître, mais comme son partenaire. Félix partage ainsi avec son « ami humain », ses repas, ses jeux et son sommeil. L’homme ou la femme qui interagit positivement avec son chat peut se faire accepter comme un(e) ami(e) que le chat apprécie tout en le trouvant, sans doute, gentil mais un tantinet maladroit.
Des bienfaits pour la santé psychologique
De très nombreuses études scientifiques ont démontré que les humains vivant en harmonie avec un chat en tiraient bénéfice pour leur mental.
Les personnes qui vivent avec un chat en général stressent moins, dorment mieux et ont une meilleure confiance en elles. La présence des chats semble également avoir un effet antidépresseur très important, c’est en tout cas ce qu’ont révélé différentes enquêtes scientifiques.
Pour les enfants, il est indéniable que la présence d’un chat leur confère un sens des responsabilités précoce, le sens du respect d’autrui, et une meilleure confiance en eux.
Comme le chat est extrêmement doué pour la communication non verbale, il est utilisé auprès de personnes souffrant de troubles neurologiques ou de sénilité, beaucoup plaident d’ailleurs pour son admission généralisée dans les EHPAD.
Un rôle préventif et curatif
Plus étonnant, on s’est aperçu que le ronronnement des chats aidait à la cicatrisation osseuse ! Des kinésithérapeutes utilisent les très basses fréquences du ronronnement (25 à 50 hertz) pour aider à guérir les fractures ; Il est vrai que dans ce domaine le chat cicatrise trois fois plus vite qu’un chien et garde 5 fois moins de séquelles !
Les qualités dé-stressantes du chat, son effet bénéfique sur le sommeil, expliquent sans doute que les propriétaires de chats ont 30% de risques en moins de faire un AVC.
Enfin, il existe de nombreux récits de femmes qui indiquent que leur chat a pu diagnostiquer précocement leur cancer. L’affaire est prise très au sérieux par les médecins et l’ « American Institute of Cancer » a publié une étude montrant que les chats pouvaient détecter l’angiogenèse, c’est-à-dire la formation de nouveaux vaisseaux sanguins qui irriguent et alimentent les tumeurs.
Ce phénomène entraîne le dégagement de molécules très discrètes que pourtant le chat aurait la capacité de discerner…
Le chat doit être heureux pour nous rendre heureux
Pour bénéficier de tous les avantages liés à la présence d’un chat, encore faut-il vivre en harmonie avec lui, c’est-à-dire lui permettre de s’épanouir pleinement dans son environnement. Il faut veiller ainsi à lui éviter les sources de stress, tout en l’accompagnant dans des activités physiques régulières (jeu, arbre à chat, jardin pour se dépenser…) et en lui mettant en place un environnement adapté.
Point capital, le chat doit se nourrir et s’hydrater convenablement. Une nourriture trop artificielle, carencée, est une source de stress pour son métabolisme. Le chat n’a jamais tant de plaisir qu’en dévorant de la viande crue. C’est pour lui une source de satisfaction majeure. Les croquettes BARF de Sally & Cie, correctement réhydratées, font aussi partie de ces plaisirs instinctifs qui contribuent à l’épanouissement de votre chat… et au vôtre.